Orientation sexuelle : Hétérosexuelle. Véridique ? Non. Tu as juste écouté et fais ce que la société attendait de toi, en épousant un homme. Les femmes t'intéressent bien plus. Quoi que tout ce qui peut trembler et pleurer entre tes griffes, devient ton attirance sexuelle. La seule chose que tu réclames, c'est le contrôle total et absolu sur les autres personnes. Ce que ton mari ne t'accorde pas, ce qui entretient votre manque d'intérêt l'un pour l'autre. Vous n'êtes que des partenaires d'affaire. Et d'une bien piètre affaire.
Situation financière : Outrageusement riche. Non contente de pouvoir profiter de l'argent de ton mari, tu es également à la tête de la compagnie ferroviaire d'Azalée, de la compagnie d'Energie et services publics d'Azalée, dont tu as hérité. Dommage, ta famille n'avait pas d'autres héritiers que toi, tu as donc tout raflé. S'est rajouté à ta fortune, l'entreprise médiatique The Emporium of Echoes, que ton mari adore utiliser.
Métier : Propriétaire de trois des plus grandes entreprises d'Azalée, même si tu ne les gères pas toi-même. Tu te contentes d'assister à des réunions ennuyantes et lire des comptes-rendus, afin de donner ton aval ou non. Tu as également un siège parlementaire, de par ta position d'héritière des groupes gérant le transport, l'énergie et les médias, mais également en tant que femme du Proconsul.
Rôle au sein de la société : Noble, mais également femme du Proconsul. Tu es donc la Dame d'Azalée.
Pouvoir : Être capable de dépenser des fortunes pour rester jeune.
Feat : Evelynn de League of Legends (K/DA prestige et Coven, principalement)
Comment avez-vous connu le forum ? Je compte au moins trois personnes, qui ont décidé de me mettre dans la sauce. J'vous remercie pas.
Votre âge ? Bientôt 30......
Allez, vous avez bien un pseudo ? Clem
Un petit quelque chose à rajouter ? J'AVAIS DIS PLUS DE COMPTES ! èé
Physique
Sois belle, c'est tout ce qu'on attend d'une femme.
La douce injonction que tu subis depuis ta naissance, faisant qu'on a toujours contrôlé ton poids, ton exposition au soleil, ou la moindre activité, qui pouvait faire changer ta morphologie.
Tu as tout fait pour répondre aux standards de la société, Minerva. Tout. Jusqu'à ne manger qu'une seule feuille de salade par repas, pour être sûre de garder ta taille fine, même si cela entraînait des malaises reguliers.
Il faut que tu sois belle. Tu dois être belle. Alors il faut que la vieillesse n'entache pas tes traits. Tu as dépensé des fortunes, pour faire disparaitre les signes de l'âge, de ton visage, de ton corps.
Tes yeux sont or prenant des reflets rouge et tes cheveux, autrefois rose à cause de l'irradiation que subi Azalée, sont devenus complètement blancs. Cependant tu ne lésines pas en colorations, quitte à parfois les abîmer, quand tu en ressens le besoin.
Oui, tout est bon pour prouver au monde que tu n'es pas qu'une vieille peau décrépite, et que tu as de l'argent, pour le prouver.
Sois belle, sois parfaite.
Le monde n'apporte aucun intérêt aux femmes moches, après tout.
Mental
Tu es rongée par la peur.
Toute ta vie, on t'a appris à devoir être parfaite, être la meilleure. Une dame de la haute société, que personne ne pourrait regarder de haut. Cette éducation stricte que tu as reçue, a détruit tes rêves d'enfant et t'as remplie d'incertitudes.
Quoi que tu fasses, ce n'était jamais assez. Alors tes exigences n'en sont devenues que plus hautes encore. Impossible à atteindre. Tu ne te complaîs pas dans ce que tu as obtenu, car tu as peur que cela ne t'échappe au moment où tu t'y attendras le moins.
Ton complexe d'infériorité a nourri ton anxiété, ta rage et ta colère. Ce que tu n'arrives pas à obtenir, il te faut le détruire. C'est une question de vie ou de mort pour toi. Car sinon, cela voudra dire que d'autres choses pourront t'échapper.
Ton besoin de contrôle est maladif, nourri toujours plus tes insécurités. Ça te colle à la peau. Tu pourrais t'effondrer à tout moment. Et cela créé des tensions, jusqu'à l'explosion. Des colères si mémorables, que tu casses tout sur ton passage. Et surtout tes esclaves.
Tu as besoin de reconnaissance, d'amour et de bienveillance. Mais tu rejettes tout cela en bloc. Tu dois être une femme forte, insensible. Alors tu dresses un mur entre toi et les autres. Un mur, que tu alimentes en sociabilité, tel la femme mondaine que tu es.
Tu te montres avenante, avec les gens de ta condition. Souriante, parfaite, la digne femme du Proconsul que tu es. Mais tu n'es qu'un vase fissuré, un être mort qui ne trouve un semblant de vie, que dans des moments de perditions, entre violence et débauche.
Tu es fanée par la vie. Lasse. Aigrie. La jalousie te ronge, quand tu vois de jeunes personnes, encore au bourgeon de leur âge. Tu ne peux t'empêcher de vouloir détruire ces personnes, les posséder. Tout comme cette renarde, que ton mari course depuis des décennies.
Tu n'as aucun amour à donner à ton conjoint. Mais tu as besoin de tellement d'attention pour te rassurer, que son comportement t'a agacé, dès l'instant où il a posé la main sur elle. Quel tête ferait-il, si tu la brisais ? Impossible. Tu préfères donc l'ignorer. Les ignorer tous les deux.
Car tu es douée à ce jeu, également. Ignorer ce qui ne te convient pas. Le problème n'existe pas, si tu ne le reconnais pas. Même s'il peut revenir excessivement vite à ton esprit, pour venir piquer ton anxiété. Mais tu ne laisses rien paraître. Du moins, pas devant les hautes gens.
Même si tout le monde sait qui tu es véritablement.
Histoire
Tu es née dans une ère où la brume rouge n'existait pas.
Les de Castelieu, était l'une des familles les plus puissantes de l'époque. Et tu étais la seule héritière direct, de cette famille qui contrôlait une partie des médias, de l'énergie et des services publics. Tu as été élevée de façon stricte par tes parents, les coups de baguettes ayant commencé à pleuvoir sur tes mollets, dès que tu eus l'âge d'apprendre.
Madame de Castelieu désirait que tu deviennes une épouse et cheffe de maison parfaite. Monsieur de Castelieu, voulait que tu lui montres que la vivacité de ton regard, pourrait outrepasser le fait que tu étais née fille, pour hériter de son empire. En vérité, il méprisait tout bonnement et simplement les branches secondaires de la famille.
Tu as donc vécu sous la pression de satisfaire deux parents aux idées contradictoires, mais qui se rejoignaient sur une chose : ce n'était pas assez, tu devais atteindre l'excellence. C'est dans ce climat que tu as grandi, développé tes névroses. Jusqu'à ce que tu le rencontres, lui.
Il avait besoin de la puissance et de l'influence de ta famille, tu avais besoin de ce qu'il te promettait par la suite, quand il aurait réalisé ses desseins : la place de femme la plus puissante du monde qu'il désirait créer. Cela t'allait et il n'eut aucun mal à convaincre le couple de Castelieu, de marcher dans l'affaire.
Ce fut un brillant succès. Il a créé son empire grâce aux medias, consolidé ses bases avec les énergies et services et les de Castelieu ont étendus leur puissance. Puis tes parents sont morts. Un vulgaire accident de carrosse, qui l'eut cru ? Cela peut être très dangereux ce genre de chose... Et tu as finalement eut la main-mise sur l'héritage.
Mais tu n'étais pas un monstre, tu en confias la gestion à tes cousins, pour qu'ils aient leur part. Sous ton contrôle, bien sûr. Et profitas de l'argent généré pour ouvrir une nouvelle compagnie, dans ce monde que ton époux venait de créer : la compagnie ferroviaire d'Azalée. Tout était parfait. Tu étais la femme la plus puissante d'Azalée, on t'enviait.
Jusqu'à son apparition à elle.
Les expériences de ton mari avaient toujours été farfelues et tu avais mis un point d'honneur à ne pas te mêler de ces affaires, ni même à chercher là où les choses te paraissaient étranges. Ce n'était pas tes affaires, vous aviez un accord. Et cet accord n'impliquait aucun sentiment.
Mais la frustration était belle et bien là, à se développer au sein de ton corps, face à tant d'indifférence de la part de cet homme. N'étais-tu que si peu désirable ? Tu te vengeas, cherchant à te rassurer et à décharger cette frustration, dans les bras d'autres personnes, notamment de tes esclaves.
Non, vous ne vous aimiez pas. Mais le voir pris de fascination soudaine pour cette renarde, te mis simplement hors de toi. Tu jubilas quand elle disparu, espérant que cette chienne ait fini par crever dans un caniveau. Mais l'obsession de ton mari susbsita, alimentant les rouages de ta rancœur.
Et c'est ainsi que vous en êtes arrivé là. Deux partenaires commerciaux agacés l'un par l'autre, mais tenu par une affaire où tout le monde avait à y perdre. Et les rumeurs gonflaient. Il n'avait aucun intérêt pour sa femme, sa femme couchait avec des esclaves. Et pas l'ombre d'un héritier.
En même temps, l'avait-il touché ne serait-ce qu'une fois ? Grand Dieu non ! Cette simple idée aurait débecté la Dame d'Azalée. Il y avait suffisamment d'enfants inutiles chez les de Castelieu pour servir d'héritier. Il suffisait que vous adoptiez l'un d'eux, un pas trop idiot, mais qui ne se poserait pas de questions, pour que cela fasse l'affaire.
Marché conclu ?
Tant d'années sont déjà passées...