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Emploi/loisirs : Capitaine du Mermaid Fortune (pirate)
Jeanne Dieu-le-veut
Situation financière : Aisée
Jeanne Dieu-le-veut
Localisation : Les mers d'Azalée
Jeanne Dieu-le-veut
Caractère : Sale caractère
Jeanne Dieu-le-veut
Mar 20 Aoû - 23:54
Dieu-le-veut Jeanne
Traître - 33 ans - Féminin - Mer, partout et nulle part
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Situation financière : Aisée Métier : Pirate Rôle au sein de la société : Fouteuse de merde Hybridation : / Pouvoir : /
Feat : Sarah Fortune - League of Legends Comment avez-vous connu le forum ? Fondatrice. Votre âge ? 27 ans. Allez, vous avez bien un pseudo ? Kaegome. Un petit quelque chose à rajouter ? Je vous aime mes chéris
Physique
La coque fend les vagues et nous avançons à bonne allure. Mes cheveux roux, voletant au vent font penser à une crinière de feu face à ce coucher de soleil. Je me pourfends d’un sourire aux dents blanches, aussi surprenant soit-il et j’observe mon équipage de mes yeux océans, comme si j’étais prédestinée à devenir la reine de ses eaux, elle m’a fait cadeau de son éclat.
Je fais un pas sur les planches du navire, mes bottes noires font crisser le bois et tous se trouvent aux aguets. Mes iris balayent mon équipage et un rictus plus cruel se dessine sur mes lèvres pulpeuses. J’aime constater la peur, l’appréhension et le respect dans leur regard, je n’ai beau mesurer qu’un petit mètre 65… Tous les mâles ici sont sous mon commandement et aucun ne moufte mot. Ils me déshabillent de leur regard obscène, mais je ne peux leur en vouloir, quand une créature aussi divine que moi leur fait face.
Même mes habits mettent en valeur mes formes, bien que j’ai pris la mer, il est important pour moi de rester féminine. C’est donc dans une chemise blanche, décolletée et élégante, que je me pavane. Ce n’est pas pour déceler un quelconque intérêt dans le regard des autres, mais je trouve important de ne pas totalement basculer dans ce monde où la masculinité est mise en avant.
Je veux rappeler à Azalée que les femmes sont toutes aussi capables, si ce n’est plus et que ce n’est pas mon genre qui dictera ma place dans la société.
Mental
Un murmure, sombre, profond, provenant des cordes vocales d’une personne… Tout ceci se transforme en mélodie et je sens mon équipage déglutir. Cette sombre mélopée indique souvent que la faucheuse n’est pas loin. Assise sur mon épaule, elle sourit et attend. Attends que je redresse mon arme et alors que je tire, aussi rapide que la balle elle s’empare du corps et cueille son âme. Tout le reste de l’équipage ne prononce mot, ils sont habitués. Habitués de côtoyer la mort à mes côtés. Le respect et la témérité, voilà ce qu’il faut pour demeurer en vie, pour espérer voir un lendemain, un soleil resplendissant qui voudra vous mordre la peau et la fragiliser à cause de cet embrun qui ne vous quitte jamais.
Sur le Sombre Espoir, il n’y a pas de place au doute. Bien qu’au début, je prenais ce qu’il y avait de disponible sur la berge d’Inouak, j’ai appris à mieux m’entourer. Les hommes de cette terre sont rarement utiles et les vices qui les corrompent en font de mauvais moussaillons. Alcooliques, prédateurs sexuels, couards, fainéants ou encore sadique, je n’avais besoin de cette vermine sur les planches brunes de ce navire. Non, il me fallait des êtres dévoués, respectueux et utiles et j’ai appris à mes dépens que les hybrides correspondaient parfaitement à cela. Je n’ai jamais jusqu’à présent fait la distinction entre ces animaux et nous humains, mais alors que je leur ai offert une chance, j’ai observé la différence.
Les bêtes, c’étaient mes hommes à bord. Eux, ils avaient simplement soif de liberté, comme moi. Je me voyais dans le reflet de leurs yeux déterminés. Cette chose qu’on leur avait arrachée, ce pourquoi ils se battaient et leurs valeurs étaient à l’échelle de leurs efforts. Oui. C’était décidé.
Après avoir échangé longuement avec eux, nous avons mis au point un accord… Celui de garder les volontaires sur les navires et renvoyer les autres inutiles à leur liberté, auprès des rebelles. Un accord fait grâce à un contact.
Certains, à l’instar de ma personne, désireux de découvertes ne comptaient pas retourner auprès des leurs, ils voulaient explorer, comprendre ce monde et à mes côtés. J’étais le passe-droit qui rendait cela envisageable. Je n’avais pas à faire usage du collier, ils me connaissaient assez bien et savaient que la tireuse hors pair que j’étais pouvait se défendre au besoin, mais surtout, que jamais je ne les tuerais. Je pouvais me montrer insistante, bornée, mais si à terre tu voulais retourner, je ne pouvais te forcer.
À quoi bon garder un mousse qui rêve de tranquillité ? Mais en gage d’amitié, souvent, un échange était opéré. Une personne voulant le remplacer après des pourparlers et c’est pour cette équité que j’ai décidé de me mouiller et de plus les aider. Aux enchères on pouvait me trouver pour sauver leurs compagnons en détresse… Ou encore à payer plus d’armes qu’il n’en fallait pour les fournir à mes petits protégés. La société les plaignait en me voyant les récupérer, ma réputation sanglante ayant déjà tourné et vu que tous ne restaient pas, on s’imaginait simplement qu’ils étaient tués… Le plan parfait.
Car oui, avoir un pied dans les mondanités est toujours utile, surtout lorsque l’on peut communiquer les dernières nouvelles aux réfugiés et lors de leurs interventions pour des casses, je n’étais jamais loin pour profiter et piller. Un accord équitable où je n’avais pas peur d’échanger une poignée de main, bien que la mienne soit déjà des plus ensanglantées…
Histoire
Je suis née chez les nobles… Amusant non ? J’ai participé à des soirées mondaines en tant que parfaite petite poupée de la société. J’ai eu des esclaves, j’en ai cassé aussi quelques-uns et j’ai toujours été quelqu’un de plutôt sage… Enfin ça, c’était avant que je ne surprenne une conversation à mes 12 ans de mes parents… Mon très cher papounet et ma très chère mamounette réfléchissaient à une manière de me vendre à un marchand d’esclaves ou encore au laboratoire pour me transformer. Les calculs étaient importants, il ne fallait surtout pas perdre un centime de cet échange…
Pourquoi ? Cette question resta longuement en suspens dans ma petite tête d’enfant, puis j’ai compris… La valeur de l’argent n’avait d’égal qu’à celle des sentiments. Tout avait un prix et le mien était celui d’amuser la galerie à un âge encore jeune pour faire profiter les plus perfides d’entre eux.
Dégoût. Meurtrissures. Crainte.
Je ne sais quel nombre d’émotions j’ai dû faire face à cet instant, mais tout se bousculait. J’avais toujours l’impression qu’on était deux en moi. La personnalité angélique, docile, calme… Et celle plus sombre et terrifiante qui tapissait mes entrailles et que je ne laissais jamais émerger. Mais ce soir-là, elle a pris ma place, pour leur meilleur et pour le pire. Pour ma survie.
Je ne sais pas si c’est son instinct de survie ou une névrose qui est apparue, mais je suis remontée dans ma chambre avec le sourire. J’ai attrapé ma poupée adorée et je l’ai emmenée avec moi dans la bibliothèque un sac dans ma main libre. J’ai pris tous les livres pouvant m’intéresser sur l’astronomie, la navigation, les plantes, la nature, bref tout ce qui pouvait m’être utile pour mon périple. Lequel ? Celui qu’une enfant de 12 ans n’a pas le temps de songer. Je devais partir et peut-être que c’est le dernier livre de piraterie que j’ai dévoré qui m’a décidée.
Ensuite, je suis allée vers le bureau de papa par la porte secrète. Je l’avais remarqué il y a longtemps, une nuit d’insomnie où il tirait une esclave nue par les cheveux pour faire sa petite affaire. Je me suis emparée de son coffre où se trouvait toute la fortune, sans un regard en arrière ni une hésitation, résolue. Alors que je m’éloignais, heureuse de mes récoltes, je l’ai vu. Dans sa vitrine, cette arme à feu aux dorures si finement travaillées… Elle prenait la poussière pour sa collection, mais moi je voulais la faire vivre, la faire vibrer, peu importe le poids des responsabilités.
Ne me pensez pas inconsciente, j’avais appris à tirer depuis mon plus jeune âge. Pourquoi ? Car c’était à la mode ? Car il fallait chasser et qu’il espérait peut-être que je reprenne l’entreprise familiale plus tard ?
Pas assez sauvage qu’il disait, trop docile ? Je ne vois qu’en lui un psychopathe qui corrompu son monde et qui m’a offert cette tare sur un plateau d’argent à ma naissance. Je suis ressortie de cette pièce qui disparaîtrait bientôt. Le sac sur mon dos, l’arme coincée entre ma poitrine et ma poupée, je devais encore aller chercher quelques affaires et c’était direction les écuries. J’y étais presque. Un rire sardonique s’échappa de mon être, ma tête bascula en arrière et mon regard vide se posa sur un garçon, un peu plus âgé que moi.
Eh merde. Je suis vue. Que faire, que dire ? Comment expliquer cet instant de folie ? Une larme roule le long de ma joue. J’ai mal, je souffre, je ne veux pas qu’il parle… Je veux fuir.
Un regard profond et le voilà qui se détourne de moi sans un mot, sans crier l’alerte. Qu’a-t-il vu dans cette enfant déjà brisée par la vie ?
D’un pas laconique, j’ai traîné mon petit corps en direction de ma chambre. Mes plus belles parures chargées dans le sac au milieu des livres, j’en prends encore un autre pour y mettre quelques robes et tenues d’équitations pour m’adapter à ce futur milieu encore inconnu de ma personne.
J’ai rejoint l’écurie, j’ai posé tous ces paquets trop lourds pour moi dans le box de mon cheval. Je me devais d’attendre avant de le préparer, au cas où on le verrait équipé et que ça alerterait la maisonnée. Oui, malgré la rapidité à laquelle les événements se déroulaient, j’étais d’un sang-froid sans pareil. Je revoyais cette jeune esclave entraînée par mon père, sans pouvoir réagir et j’étais certaine d’une chose, je ne voulais pas terminer ainsi. Il me fallait donc faire preuve d’intelligence. Être plus maligne que le destin que ces monstruosités qui m’avaient donnée vie.
Je suis retournée au manoir, ma poupée et mon arme toujours contre moi. Je suis entrée dans le salon où mes parents discutaillaient et j’ai tiré. J’ai abattu de sang-froid ceux qui voulaient se débarrasser de moi. J’ai ensuite attrapé une lampe à huile que j’ai éclatée pour qu’elle agisse à ma place. Le feu à lécher les murs de la maison un regard vers la bibliothèque, j’actionne un livre et m’offre un passage parfait aux murs de pierre. De quoi retarder quelque peu l’incendie ici.
J’ai entendu tout le monde hurler et courir dans tous les sens. Je suis sortie par les cuisines encore intactes, mais où il n’y avait plus personne pour surveiller mes allers venus. Là, un sac en toile de jute était pendu sur la porte du garde-manger. Je m’en suis emparée et avec ce même calme laconique, je me suis servie généreusement et j’ai décidé de quitter ce manoir disparaissant dans les cris, le feu et le sang.
Une envie de rire, un rire libérateur se faisait sentir, mais rien de tout ceci ne se produisit. Pourquoi ? Parce que le garçon de tout à l’heure se tenait devant moi avec mon cheval chargé de mes paquets et un autre en main.
Je ne sais exactement ce à quoi j’ai pu penser à ce moment. La crainte que tout soit terminée ? Le soulagement de ne pas être seule ? L’incompréhension de l’avoir vu prendre les devants et faire ceci en voyant pourtant mes actions. Dans son regard, je le voyais, il savait.
Un pas dans ma direction. Un frisson s’empare de mon être, alors que je sors l’arme cachée derrière mon doudou. Je le vise et… Je me sens perturbée dans cette action, il ne sourcille pas, continue de s’approcher et récupère simplement mon dernier sac pour le charger sur sa monture. Toujours sans prononcer mot. Quelque chose me terrifiait encore plus chez lui, que je n’avais déjà peur de moi actuellement. Il était là et je devais m’en satisfaire apparemment.
Encore aujourd’hui, je ne sais pourquoi je n’ai jamais appuyé sur la gâchette en ce qui le concerne ? Peut-être qu’avoir une personne plus vieille me rassurait en un sens, dans ce monde qui n’avait plus de place pour moi.
Un craquement, je me retourne et observe ce manoir en feu, à l’effigie de mes cheveux roux, poisseux du sang de mes parents. Je portais la marque du massacre dans ma tignasse.
La suite, je l’ai oublié. Je me souviens simplement, que quand j’ai repris mes esprits, j’étais sur mon cheval en train de galoper. Je voyais simplement son dos, dans ce nuage de poussière et où mon esprit était aussi brumeux que cette nuit-là.
On s’est caché des jours durant. J’ai appris que l’on pensait que le drame, c’était produit suite à mon kidnapping qui s’était mal déroulé et donc on pouvait voir des avis de recherche me concernant. D’autres rumeurs pensaient que j’avais succombé dans l’incendie, mais aucune ne m’accusait d’avoir été l’instigatrice de tout ce bordel.
Les années ont passé, je me suis intéressée de plus en plus près à la piraterie à cause des livres que j’avais pris… Certes, ils parlaient simplement de voyager en mer et non de piller, mais j’avais soif de violence et je ne voulais plus jamais être régie par des lois. Au début, nous avions acheté un petit navire habitable avec l’argent que j’avais récupéré, de quoi vivre paisiblement sans que personne ne nous dérange. … Puis j’ai finalement fait construire mon navire voué à accueillir de futurs pirates. Nous étions habitués tous les deux à naviguer, voir les choses en grand n’était pas dérangeant, nous savions déjà tout de ce ciel, de ces eaux, ces courants ou encore ces récifs.
Un magnifique voilier prit donc forme, j’allais enfin pouvoir parcourir des eaux qui m’étaient encore inconnues. De plus, bien que c’était vieux jeu, j’avais demandé à ce que l’on installe une dunette. J’aimais passer mon temps dedans où j’avais une vue imprenable et où le calme y régnait. Rares moments de paix que je m’accordais dans ce monde de violence.
Dernière petite information, Dieu-le-veut n’est pas mon vrai nom de famille, mais comme vous pouvez vous en douter, pour se faire oublier, il faut changer d’identité… Et si je suis encore vivante en liberté et non à croupir dans une prison, c’est que Dieu voulait ma survie pour que je bouge ce monde à ma façon. Laquelle divinité après ? Je vous laisse y songer.
Particularités : Queue de dragon d'eau, écailles le long de la colonne, bois de chevreuil, donnent l'effet d'un hybride de dragon mythique ; ironiquement, tatouage de dragon sur le bras, l'épaule, le pectoral et l'omoplate gauches. Peut faire disparaître ses attributs animaux tant qu'il est conscient et concentré.
Calyes Ryteclaw
Mer 21 Aoû - 15:16
« Jeanne ! Au secours ! »
Oui je sors vite. Love her~
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Merci à notre Minerva nationale pour le kit. ♥
Jeanne Dieu-le-veut
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Jeanne Dieu-le-veut
Jeu 22 Aoû - 0:03
On m'invoque ?!
Restes pas loin, j'aime les compliments~
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Sojiro Seta
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Sojiro Seta
Ven 30 Aoû - 1:27
Pré-validation
Plus qu'un pas à faire
Très intéressante cette Jeanne, elle promet bien des défis et bien des surprises ~ Au plaisir de la découvrir un peu plus en temps et en heure! Tout est bon, je valide!
Félicitation tu es pré-validé !
Toutes les corrections demandées par le staff sont bonnes, il ne manque plus que la vérification ultime de Proconsul pour savoir si rien n'a été oublié !
Tu peux donc, en attendant, déjà commencer à faire tous tes recensements si cela n'a pas été fait ! Voire même poster ta recherche de maître/esclave ou te proposer sur celle des autres.
Et même si tu ne peux pas encore officiellement faire une demande de rp, tu peux d'ores et déjà aller consulter celles qui ont déjà été postées et te proposer par mp auprès des demandeurs, pour commencer à prévoir ensemble, pour lorsque tu seras officiellement validé ! Il en va d'ailleurs de même pour les carnets de bord, tu ne peux peut-être pas encore poster le tien, mais peux déjà commencer à te positionner sur ceux des autres, si certains de leurs liens rechercher t'intéresse.
Notre cher Propro' reviendra vers toi au plus vite qu'il le peut, pour que tu puisses démarrer le RP.
Tu peux désormais faire une recherche de rp (ou bien participer aux RPs aléatoires, si tu n'as pas d'idées ou aimes l'imprévu !) et une demande de maître ou d'esclave ! Penses aussi à aller faire tes recensements et pourquoi pas créer ton carnet de bord ? On espère que tu vas bien t'amuser parmi nous et pouvoir te créer de magnifiques souvenirs ! Au plaisir de te voir évoluer dans notre monde, nous te souhaitons bon courage!