Orientation sexuelle : Bisexuel
Situation financière : Moyenne
Métier : Passeur
Rôle au sein de la société : Membre des rebelles
Hybridation : Panthère des neiges
Pouvoir : Peut faire disparaitre ses attributs animaux pour une durée maximum de 1 heure. Possède également une légère maîtrise du feu.
Feat : SilverAsh de Arknight ^w^
Comment avez-vous connu le forum ? Dieu m'a parlé
Votre âge ? : 30 ans
Allez, vous avez bien un pseudo ? Fanakeh ou Steph
Un petit quelque chose à rajouter ? La folie n'est contagieuse que lorsqu'on est en sa présence :O
Physique
Lorsque les gens entendent parler du sous-chef de la rébellion hybride, ils ont tendance à s’imaginer que je suis monstrueux et ignoble. En vrai, j’ai plutôt été gâté par la vie. Mesurant 1m 88 et ayant un poids de 78kg, je possède une musculature bien définis. Mes cheveux sont gris-clair dont les pointes sont plus foncées. Ils sont découpé en dégradé et la longueur s’arrête au milieu de mes omoplates. À l’avant j’ai une mèche enveloppé dans une bande de tissus bleu maintenu en place par des billes en souvenir de ma famille perdue et du but que je me suis fixé. J’ai les yeux marron clair et ma peau est relativement pâle sans pour autant que je ne semble malade. À certains endroits, j’ai quelques marques qui me rappel à chaque jour, le triste sort des esclaves autant humains, qu’hybrides, notamment sur le torse, le dos et le bras. Malgré mon air sérieux, je ne semble pas menaçant ni intimidant, sauf si ne n’est de ma grandeur imposante. Les traits de mon visage sont fins et posé. Mes oreilles ont changer d’apparence dû à ma mutation. Elles sont plus hautes et j’entend plus clairement. Elles sont également de couleur grise aux contours plus foncé. Suite à ma transformation, j’ai aussi eu la pousser d’une queue aussi longue que mes jambes, soit près d’un mètre. Respectant le gris de la pigmentation de mes follicules pileux, elle comporte aussi des tâches ressemblant à des cercles vagues de différentes grosseurs de couleur gris foncé ou noir.
Mes yeux mes permettent de mieux voir dans l’obscurité ou lorsqu’il y a une faible luminosité. Mon odorat est un peu plus développé ainsi que mon ouïe comme dit plus tôt. Seule mes canines sont légèrement plus longue, mais pas assez pour réellement affecter ma dentition. Mes os et mes muscles me permettent d’avoir une bonne force physique, être plus agile et rapide. Mes jambes sont suffisamment puissante pour que je puisse effectuer des sauts de 3 mètres de hauts ou 5 mètres de distances. Ma queue m’aide au niveau de mon balancement, de ma vitesse et ma furtivité.
Niveau habit, je préfère de loin porter du noir et ce qui à de la fourrure. Je dégage beaucoup de chaleur, mais devient vite frilleux. Mon code vestimentaire respecte un peu celui de la haute société me permettant ainsi de passer inaperçu lorsque j’ai besoin de le faire. Seule la chemise que je porte est blanche avec une cravate noire qui s’associe avec le reste de mes vêtements. Je porte un veston qui fait également office de manteau dont le style rappel celui des nobles. Pardessus, j’ai une longue cape me descendant jusqu’au mollet, au collet poilu et qui est attacher ensemble par une chainette en argent au niveau des épaules. Elle me permet de cacher ma queue et le ruban orange que je porte au bras, significatif des rebelles. Mon pantalon comporte plusieurs poches et rappel le genre armé ainsi que mes bottes qui sont attachées par-dessus mes vêtements et qui me vont jusqu’à mi-mollet. À ma taille, je porte deux ceintures, dont une pour le style et à la seconde, est attaché une petite dague et une pochette dans laquelle se trouve une trousse de soin et des outils de crochetage. Je porte parfois des gangs afin de me préserver du froid et cacher mes mains quelque peu griffue. Mes ongles étant plus solide et poussant plus vite, je dois les couper régulièrement et cela devient vite gênant question pratique.
Puis finalement, je possède une canne fine et allongé élégamment sculpté. Elle complète mon look, mais me sert principalement d’arme contre mes adversaires pour ne pas que je ne les blesse mortellement. Elle me permet en priorité de me défendre si nécessaire.
Mental
Ce n'est pas parce que je suis un hybride de seconde génération que le pouvoir m'est monté à la tête. Au contraire, je réalise un peu plus en fait, que la création d'hybride ne sert en rien au développement scientifique, qui de base, devait être utile au sauvetage de la nation. Non, en réalité, cela n'est qu'un divertissement pour humains riches, avides de pouvoir et à la recherche d’items rares à ajouter à leurs collections.
Humain, je croyais que les hybrides étaient des monstres et que les esclaves étaient des humains moins intelligents. Je n’avais peut-être aucune conscience de ce qu’était le concept de l’esclavage, dû à mon bas âge, mais aujourd'hui, maintenant que je suis devenu un hybride, je constate que la mince barrière qu'il y avait entre moi et eux, n'était qu'une question de rang et de possession. Ce n’est que lorsque j’ai réellement touché le fond que j’ai réalisé tout ce que j’avais à perdre.
Malgré tout, je me suis relevé et ce, dans le seul but de retrouver ce qui m’a été arraché; ma famille, ma liberté, mes droits, mon libre arbitre, ma vie. Cet objectif me donne la volonté d’avancer à tous les jours et m’encourage à donner mon 100%. Il a réveillé en moi du courage et un charisme que je ne me connaissais pas. Ajouté à cela, ma diplomatie, mon sens aiguisé de l’observation et de l’analyse, ainsi que ma patience et mon endurance, il m’est facile de retourner une situation à mon avantage. Étant curieux et opportuniste, je fais attention aux détails et même ceux les plus anodins. Je peux ainsi éviter les combat inutile. J’ai beau être un combattant, je n’aime pas pour autant les conflits. Je préfère me servir de ma tête et de mon sens tactique plutôt que de mes muscles et mes réflex. Dans une situation où je suis seul, je me laisse généralement faire et je ne réplique pas lorsqu’on s’en prend à moi. Cependant, si on s’attaque à mes amis, alliés et ceux qui me sont cher et si cela devient vraiment nécessaire, je sais me servir des armes qui sont à ma porté. Ma première mission est de défendre et protéger les miens.
Au départ, je détestais ce que j’étais devenu. J’avais la force suffisante pour tuer et lorsque l’on réveillait mon côté sauvage, j’attaquais sans réfléchir, et ce, de la façon la plus destructrice possible. Il ne me fallut pas bien longtemps pour avoir en horreur cette facette de moi-même. C’est pourquoi, je ne laisse pas ma colère prendre le contrôle sur mon jugement. Je préfère mettre mes adversaires H.S sans avoir eu à les tuer ou encore les blesser. De cette façon, je suis capable de garder la tête haute et d’être fier de moi, car je suis loyal et respectable. Il est hors de question que je me cache encore une fois avec la queue entre les jambes.
Enfant, j’étais innocent, gentil, inoffensif, très peu conscient du monde dans lequel je vivais et je rêvais un jour de devenir policier pour défendre les gens et me battre contre les injustices. Présentement, je ne ressemble plus en rien à celui que j’ai déjà été. Notre seul point commun, est de vouloir apporter justice, protéger les innocents et vouloir rendre ce monde encore plus meilleur. Je sais que la vie n’est pas à bout des surprises qu’elle me réserve, je profite donc de chaque moment et essaie de faire de mon mieux pour faire ce qui selon moi, est le bien.
À première vue, je suis une personne réservé, calme et sérieux. Ayant dû apprendre à survivre par moi-même, j’ai quelque fois de la difficulté à m'intégrer dans un groupe. Une fois que je connais un peu plus les gens autour de moi, je deviens un peu moins timide. J’ai un bon sens de l’humour, suis du type galant et charmant et même que je peux devenir provoquant et arrogant. Je suis également, du genre un peu jaloux, protecteur, territorial et susceptible. Seuls ceux qui sont réellement très proche de moi, savent que lorsque je suis énervé et anxieux, je me mord inconsciemment la queue et cela semble apparemment me réconforter. Je ne le réalise que lorsque j’entends la personne rire. Cela m’énerve en toute honnêteté, mais je n’y peux rien et c’est vrai que ça me calme. J’ai donc prit la mauvaise habitude de fumer pour ne pas faire cela avec les membres de mon groupe ou à un moment où je ne devrais pas le faire.
Ce qui me réconforte plus que tout, autre que ma queue et la cigarette, et qui a un réel don pour me remettre de mes émotions et de mon manque de motivation, sont; la neige et les saisons hivernales; puis Vicky, pour qui, j’ai un immense respect et une profonde admiration. Je sais que sans elle, je n’aurais jamais eu la force de survivre et son rêve, j’en ai fait également le mien. Je lui prête ma force autant qu’elle à su me prêter la sienne quand j’en ai eu de besoin.
Histoire
Azalée est principalement le nom donné au regroupement d'îles qui abritent deux grande ville coupé d'un monde inconnu. Les gens y sont tellement occupé à vivre leur petite vie ou petits malheurs, dépendamment de l'endroit où ils se trouvent et de leurs conditions, que tous en oublient les résidences quelque peu éloignées, tel que les maisons de campagne aux bords des champs, qui offre une vue lointaine sur ce fameux brouillard qui en effraie plus d'un.
Ne vous méprenez pas, ce n'est pas parce que ce n'est pas la ville, que la vie y est plus calme. Les gens y habitant vivent de leur dur labeur en cultivant légumes, fruits, viandes et produits animaux qui sont vendu dans les villes. Cela rapporte, mais à quel prix. Une bonne partie des champs se trouve plus près de Eydriade, la ville des riches, mais ce n'est pas pour autant que les gens des environs y sont plus fortunés. Cela est en réalité l'une de leur principale problématique, mais personne n'osera directement s'en plaindre n'ayant pas la force financière de se battre contre ceux de la haute société qui n'auraient qu'à clamer que ce ne sont que de fausses accusations.
La réalité étant que, ce sont les hybrides de première génération, relâcher en nature par leur propriétaire, qui par instinct sauvage et besoin naturelle, s'attaque au bétail et au aliments cultivés. Cela empiète sur le travail des éleveurs et des fermiers, qui ne peuvent alors plus optimiser leur production. En général, l'hybride en soit est rapidement maîtrisé et est soit tué, ou est relâché en direction du brouillard afin qu'il y disparaisse. Cependant, il arrive aussi que l'individu à suffisamment le temps de causer bien des dégâts et de morts.
Je suis né et ai grandi en campagne. Fils d'une famille de fermiers et d'éleveurs de bovin, je suis le frère aîné de deux jeunes filles dont l'une, du nom de Dayana, est plus jeune que moi de 3 ans, et la cadette du nom de Mélane, l'est de 5 ans. Nous vivions heureux avec nos parents, qui faisaient tout leur possible pour subvenir à nos besoins. L’un de nos oncles ainsi que son fils, résidaient également avec nous et aidaient au travail à la ferme.
Je me souviens que lorsque je n’étais encore qu’un enfant. Moi et mes sœurs n’avions pas le droit de nous éloigner de la maison et seul les adultes pouvaient se rendre au bout du champs. Je ne mentirai pas, je n’avais aucune idées de la raison qui poussait ma mère à être aussi craintive. Quand elle ne regardait pas, j’aimais courir dans les hautes tiges de blé et sentir leur odeur. Pour moi, la vie était belle et je croyais pouvoir vivre ainsi pour toujours.
L’année de mes 8 ans, tout bascula. En pleine nuit, un bruit fracassant venant de l’extérieur et les meuglements des bovins, réveillèrent toute la maisonnée. Du bruit venant du rez-de-chaussée attira notre attention, à moi et mes sœurs. Nous n’avions descendu que la moitié des escaliers menant au deuxième étage, que notre mère nous hurla de remonter dans notre chambre et que notre père sortir à l’extérieur suivis de notre oncle, armes en main. Mon cousin gardait l'entrée jusqu’à ce qu’un cri se fasse entendre et que des coups de feux résonnent dans la maison.
Mon père entra de nouveau dans la maison en trombe ainsi que son frère qui semblait gravement blessé. Ils n’eurent pas le temps de refermer la porte, que ce qui les suivait entra à son tour. Je me souviens avoir senti mon sang se glacer et mon souffle se couper. Sur le palier de la porte se trouvait, ce que je qualifiait à l’époque de monstre, un hybride. Il était grand, musclé et tout son être dégageait une aura meurtrière. Ses yeux de fauves se posèrent sur les deux hommes devant lui avant qu’il ne saute au cou de mon oncle. Mon cousin, qui tenta de lui faire lâcher prise, se fit attaqué à son tour. Mon père tira deux fois et la créature tomba inerte sur le sol. Le fils de mon oncle agonisa quelques minutes avant de fermer les yeux pour le plus les ré-ouvrirent.
Cet événement m’a marqué au plus profond de mon être et m’a changé énormément, mais cela ne fût que le premier domino. Près de deux ou trois semaines après avoir enterré les membres de notre famille, mes parents nous annoncèrent à tous les trois que nous allions partir pour nous permettre d’avoir une vie meilleure. Nous étions dans une époque changeante et le Proconsul travaillait à apporter un avenir plus radieux aux gens d’Azalée. Nous n’avions pas vraiment notre mot à dire et nos parents nous avaient déjà vendu à une famille fortuné, moi et mes petites sœurs.
J’étais en colère contre eux alors qu’ils avaient osé nous faire une telle chose. Ils disaient faire cela par amour pour nous et pour notre sécurité. Si c’était là tout l’étendu de leur amour, ils pouvaient bien se le garder, je n’en voulais pas. Je ne voulais pas y aller, mais devant la détresse de mes deux cadettes, je me résolu à rester près d’elles pour les protéger et prendre soins d’elles.
Au bout d’une année, ce fût au tour de nos parents de substitutions de mourir de façon mystérieuse. Les membres de leurs familles c’étaient débattu la fortune des défunts jusqu’au dernier sous, nous laissant complètements pauvre et sans toit. Personne n’avait désirer s’encombrer de trois enfants sorti de nul part. Nous fûmes donc donné au laboratoire comme cobaye.
J’étais terrorisé à cette idée, l'image de l'hybride à la ferme et du carnage qu'il y avait fait me revenant en tête. Toutefois, je me devais de rester fort pour mes sœurs. Aussitôt à l’intérieur, nous fûmes enfermer dans une sorte de cellule. Nous étions ensemble au début puis on nous sépara au bout de quelques semaines de traitement étrange. Autre que les deux premiers mois, je ne me souviens presque de rien de mon passage en laboratoire. Cela ne semblait être qu'une image flou comme une vieille vidéo saccadée et brouillée jouer sur une vieille caméra pauvre en qualité audiovisuelle. Je me souviens cependant de la douleur et de la terreur que j’ai vécue. Comme un vieux traumatisme dont je ne suis pas capable de mettre le doigts sur ce qui s'est réellement passé.
Ma vie fila comme un éclaire, passant à une vitesse folle de jeune garçon à l'adolescence, puis enfin à l’âge adulte. Je ne savais plus qui j’étais et où je me trouvais. Les souvenirs de mon enfance me semblait être un film fait sur mesure afin de me donner une base d’existence. Je me sentais étranger à ce que j’avais vécu. La seule certitude que j’avais, étaient les deux filles que je me devais de protéger et dont j’avais oublié qu’elles étaient ma seule vraie famille.
Un jour, on vint les chercher dans les cellules près de la mienne. Sans savoir comment, je me suis élancé contre la porte de ma cage, mon bras se tendent le plus possible afin d’essayer de les attraper avant qu’elles ne partent. J’ai crié leur nom sans même réfléchir avant de me prendre un bon coup d’électrochoc provenant du collier que j'avais au cou et dont je n’avais pas eu connaissance d'avoir avant maintenant J’ai alors pleuré, longtemps, parce que je savais au fond de moi, que je les avaient vu pour la dernière fois. Comme pour me prouver mon ressenti, elles n’ont jamais réintégré leur cellules.
Suite à cela, je me montrais sauvage et borné, mais ma lueur disparut vite et je devint docile alors que je réalisais que j’avais tout perdu. Malgré mon manque de motivation, on me classa tout de même comme hybride de seconde génération. Je ne démontrais cependant, aucun pouvoir particulier puisque je n’y mettais pas les efforts nécessaires. On me diagnostique alors une dépression et je fus traité pour me remettre de mes émotions. Étrangement, je me sentais toujours comme une épave, mais mon cerveau semblait intéressé par les exercices qu’on me faisait faire. Comme s’il avait une motivation intense à vouloir oublier et se changer les idées. Je devais apprendre à me servir de mon nouveau corps et au final, je fus alors apte à démontrer une légère habileté de maîtrise du feu.
Une fois prêt, je fus mis en vente dans une enchère d'espèce rare. Un homme s'intéressa vite à moi et offrit un prix exorbitant afin de dissuader quiconque de faire une surenchère. J’en fus le premier surpris et ne sachant pas trop à quoi m’attendre, j’étais plutôt content de sortir enfin du laboratoire. Je m’étais promis de faire tout mon possible pour sortir ce soir là et pouvoir enfin tenter de reprendre un semblant de liberté.
Mon nouveau maître s'éprit rapidement de moi. Il semblait aussi excité qu'un enfant, le jour de son anniversaire. Il choisit de me placer dans sa garde rapprochée. Cependant, ne sachant pas me battre ni rien de cela, il mit tous les efforts pour me trouver un excellent professeur et je dû rapidement démontrer mes progrès. Il me força à exercer sa tyrannie sur ses esclaves, employés et gens du peuple autour de lui qui lui manquait de respect. Un jour, je lui ait tenu tête et ai refusé de faire ce qu’il me demandait. J’étais dégouté et honteux. Il s’en prit alors à moi, mais je lui en voulait tellement que j’ai répliqué. Il en résulta que le contrôleur du collier se brisa et le maître sombra dans l’inconscience du à la quantité de sang qu’il perdait.
Je me suis alors enfui, comme tous les autres esclaves et hybrides en sa possession. Je n’avais nul part où aller. Je me suis donc abriter dans une forêt dense et éloigné de la ville. Durant plusieurs jours, j’ai dû apprendre à me débrouiller par moi-même.
Lors d’une de mes multiples chasses ratés, je me prit la jambes dans un piège de chasseur d’hybride. Ils ne mirent pas beaucoup de temps à rappliquer et à juger ma qualité d’hybridation. Je ne leur donnèrent pas le plaisir de voir qu’ils avaient eu raison d’un métis de deuxième génération. Devant mon manque de réaction, ils me ruèrent de coups pour leur bon plaisir. Me croyant alors inutile, ils me conduire jusqu’à la mer où il me jetèrent à l’eau. Blessé et épuisé, je sentit à peine l’eau remplir mes poumons et mon corps sombrer de plus en plus. J’étais bien, léger, confortable et paisible. Tout ce que je voulais à présent, était dormir. Je vis une femme descendre vers moi les bras ouverts et je lui tendit les miens avant de perdre connaissance.
J’ouvris les yeux dans la cabine d’un navire. Il me fallu un bon moment avant de me souvenir de ce qui m’étais arrivé. Une jeune femme vint me voir et m’expliqua qu’elle m’avait sauver la vie. J’eu un flash et je la reconnu aussitôt. Elle se nommait Vicky et après une longue discussion, elle m’apprit pourquoi elle c’était retrouvée là et quel était son but. À ce moment précis, j’ai su que je voulais en faire parti. Je voulais la suivre et lui apporter mon aide. Je voulais me battre pour que plus jamais personne n’ait à vivre là même chose que moi. Elle refusa prétextant que son rôle était de protéger ceux qu’elle secourait et de plus, j’étais blessé.
Ce n’est pas ce qui m’a arrêter. Après m’être acharné à vouloir m’améliorer et à vouloir apprendre et aidé, je fis tout ce que j’ai pu pour lui montrer que je pouvais être utile. Je ne peux confirmer si elle avait bien vu un potentiel en moi ou si c’était simplement pour avoir la paix, mais elle accepta. Je devins alors passeur et mercenaires, puis fini par recevoir le titre de sous-chef après beaucoup d’efforts.
Je fini par apprendre que je possédais un second pouvoir qui me permettait de faire disparaître mes attributs animaux pendant une courte durée. J’en profitait alors pour me rendre en ville et récolter des informations qui pourrait nous être utile pour la rébellion et aussi pour en apprendre d’avantage, si je pourrais retrouver un jour, mes sœurs perdues. Durant l’une de mes excursions, je trouva un jeune faucon blessé. Surement par un félins. Je continua mon chemin, avant de revenir sur mes pas et décidé de prendre soin de lui. Une fois remis sur pied, il refusa de reprendre son vol vers la forêt. Je cru qu’il ne pouvait plus voler, mais il me prouva qu’il le pouvait toujours. Il a pris l'habitude de me suivre et reviens toujours vers moi. Je continu donc de prendre soin de lui et il est devenu mon meilleur confident.