Orientation sexuelle : Bi
Situation financière : Dépend du maître
Métier : Esclave
Rôle au sein de la société : Œuvre d'art vivante
Hybridation : Aucune
Pouvoir : Aucun
Physique
Un corps bien sculpté, des tatouages, des piercings – il est une œuvre d’art ambulante. Malgré les apparences, il est humain. Évidemment, ses cornes et ses oreilles pointues ne sont pas des anomalies génétiques mais bien l’œuvre de chirurgies.
Niveau habillement, son ancien maitre lui faisait porter très peu de vêtements et beaucoup de cuir – quoi s’attendre d’un vieux pervers?
1m90 – 70kg
Mental
Une œuvre d’art, voilà ce que tu es – tu dois donc te comporter comme tel. Il n’y a pas plus bel esclave que toi, tous doivent être jaloux de ton maitre pour te posséder. Admiration, désire, jalousie, voilà les sentiments que tu dois provoquer chez autrui. Tu es un bon esclave, alors tu obéis – ou plutôt, tu n’as pas à te plaindre de ta vie. De la nourriture à volonté que tu ne cuisine même pas toi-même, aucun boulot chiant comme les autres esclaves. Tu étais d’ailleurs bien plus proche d’un majordome que d’un esclave. Aider ton maitre quand il te donnait tant te faisait plaisir.
Même si au début tu trouvais cela étrange d’avoir tous les regards sur toi, aujourd’hui tu adores. Que ta simple présence plus rendre quelqu’un heureux, c’est gratifiant n’est-ce pas ? Dans les soirées, ton maitre te laissait agir à ta guise – tu pouvais discuter avec quiconque désirait ta présence, ou plus. La seule limite ? Aucun contact physique – même ton maitre ne te touchait pas, alors personne ne devait le faire.
Pourquoi parler de cela dans ton caractère ? Cela nous amène à tes loisirs dont le principal est la danse. Ce n’est pas toi qui as décidé de t’y initier, mais ton maitre. Tu étais un esclave de soirée, savoir faire la lessive et la cuisine n’était pas nécessaire – pratiquer le chant et la danse était bien plus important. Avoir une bonne culture générale aussi – tu ne devais pas faire honte à toi et ton maitre en discutant avec les convives. Et apprendre, c’est quelque chose que tu adores. Dans tes libres, la bibliothèque de ton maitre était ton refuge.
Aujourd’hui, il est évidant que tu ressens une certaine haine contre ce fils qui t’a vendu, mais ce n’est même pas pour t’avoir privé de ta liberté promise – tu sais être un esclave et tu as longtemps cru que ton maitre n’était pas sérieux en te promettant cela. Non, ce qui te dérange le plus dans l’histoire, c’est qu’il souille la mémoire de son père au lieu de l’honorer. Tu aimerais – secrètement – le voir se planter, perdre sa fortune et devenir esclave à son tour.
Tu sais que tu as déjà épuisé la chance d’une vie pour avoir eu un aussi bon maitre, mais garde espoir en l’avenir malgré tout.
Histoire
Né d’une famille pauvre et trop nombreuse, il fut vendu en très bas âge. Son premier maitre ne l’avait acheté que dans le but de le revendre plus cher dans quelques années, c’est pourquoi son enfance ne fut qu’entrainement physique et responsabilisation. Pour valoir cher, un esclave devait être beau et compétent. Avant l’âge de 15 ans, il savait donc cuisiner de manière plutôt décente, il avait un physique le rendant apte à presque n’importe quelle tâche que pourrait demander son maitre et il était un pro des tâches ménagères.
Finalement, son second maitre ne l’acheta que pour une seule raison – il était beau. C’était un collectionneur d’œuvres d’arts, qui désirait faire changement de simples tableaux et statues – de l’art vivant.
Avec ce maitre, Valwë avait deux tâches principales – s’entrainer pour conserver son magnifique corps et accompagner son maitre partout où il se rendait. Fier de son esclave, ce dernier désirait le montrer.
À noter, malgré les apparences, Valwë est toujours vierge – son maitre ne l’a jamais touché (autre qu’avec ses yeux) ni demandé de le toucher.
D’ailleurs, son maitre était pratiquement mourant au moment de l’acheter. Depuis les premiers jours, il disait à son esclave qu’à sa mort, celui-ci serait libre. De toute façon, libre ou pas, Valwë n’avait pas à se plaindre de son sort – c’était même très agréable de voir l’envie et le désir dans le regard des gens qui l’observait. Et il était bien nourri.
À la mort du maitre toutefois, alors que le fils aurait dû honorer la mémoire de son père et rendre la liberté à l’esclave, il en décida autrement. L’appât du gain. À l’âge de 20 ans, Valwë se retrouva donc dans une vente aux enchères…
Feat : OC Dark Elf - Saerevirth
Comment avez-vous connu le forum ? Par Proconsul il y a de cela bien longtemps
Votre âge ? Vous le connaissez déjà
Allez, vous avez bien un pseudo ? Ça aussi vous le connaissez déjà depuis longtemps
Un petit quelque chose à rajouter ? Merci Clem