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Tatyana, ordonnée et dévouée



 
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Tatyana, ordonnée et dévouée

Tatyana Iliouchine
Tatyana Iliouchine
https://hybrideindustry.forumactif.com/t254-tatyana-ordonnee-et-
Tatyana Iliouchine
Maître.sse
Messages : 95
Race : Humaine
Âge : 25
Orientation sexuelle : Asexuelle
Emploi/loisirs : Police Politique
Situation financière : Riche
Localisation : Eydriade
Caractère : Affable - Enjouée - Amicale - Loyaliste - Impitoyable - Cruelle
Particularités : Marques de seringue sur les bras
Tatyana, ordonnée et dévouée Icon_minitimeVen 4 Juin - 19:36
ILIOUCHINE Tatyana
Maîtres – 25 ans - Femme - Eydriade


Orientation sexuelle : Asexuelle
Situation financière : Riche (famille : très riche)
Métier : Enquêtrice à la Police Politique
Rôle au sein de la société : Loyaliste, inquisitrice morale




Physique


Menue, de taille moyenne, jamais trop gonflée par l’apparat et la pompe des grandes robes et des breloques, je me promène dans ce décor victorien avec une certaine légèreté, l’allure d’une abbaye romane à côté d’une cathédrale néo-gothique. Ni empâtée, ni exubérante dans mon physique, mes vêtements eux aussi sont partiellement sobres : je porte régulièrement des uniformes de travail assez professoraux, avec jupes, bas, manches longues. Lorsque je daigne faire coulisser cette part de moi, comme dans le foyer, on me retrouve dans des robes cramoisies ou crèmes, pas très bouffantes de préférence.

De plus près, à regarder mon minois, le ton du bleu ressort comme l’orage du ciel. Bleu de mes yeux immenses, bleu de ma cascade de cheveux. Sa fulgurance contraste avec la délicatesse relative de mon visage, mon nez minuscule, ma bouche infime, mes oreilles modestes. Mon teint entre le pâle et le rosé cadre bien avec cette vivacité que je dégage. Ma voix fluette fait un peu en retard pour une demoiselle de vingt-cinq ans.

Ceux qui m’aiment ne voient que la mignonnerie ou l’affabilité, les autres peuvent médire sur des détails qui les troublent. J’ai une fois entendu dire que mes grands yeux avaient « l’allure inexpressive des yeux d’un poisson ». Ou encore que mon sourire étaient aussi chaleureux qu’il manquaient d’âme. Je n’en sais honnêtement rien.


Mental



« - Tatyana, c’est bien vous, Tatyana !
- Oui, qui voulez-vous que ce soit d’autre sir ? »

Un sourire d’ange, des paupières plissées poliment. Bienvenue, vous parlez à Tatyana Lioukanovna Iliouchine. La dernière typique de fratrie, la joueuse, l’amicale, la gaie, la boute-en train… Pas non plus l’idiote. Il y a une certaine distinction dans ces familles de marque, et je suis une jeune femme qui obéit aux critères de bienséance et de raffinement. Même si on peut éventuellement se renfrogner quand je lâche un rire tendre comme seul commentaire.

« - Et c’est aussi vrai ce qu’on raconte, vous ne voulez pas d’un mariage, même si des cadets en seraient ravis ? Vous prétendriez avoir des préoccupations plus… essentielles. »
- Vous êtes bien renseigné. Pour mes propres raisons, je ne me trouve pas encore prête au mariage. L’amour m’ennuie, les relations physiques ne m’attirent pas. »

C’est vrai. Je ne suis pas une gouine cachée, je n’ai simplement aucune notion romantique, ni aucune envie d’avoir une vie sexuelle. L’idée d’avoir un amant ne m’évoque rien d’autre qu’un vague fardeau, une lourdeur que je préfère amplement esquiver. Qu’est-ce qui peut m’amuser autant pour que j’ai remplacé cet espace… ? Lire, échanger, partir en barque, monter à cheval, aller au restaurant, notre société ne manque de rien de distrayant… La vie est même trop courte, la jeunesse plus encore.

« - D’après une rumeur pourtant, vous ne seriez pas aussi pure que vous le paraissez. Vous êtes, si on peut dire… en partie impropre au mariage.
- Je vous trouve incroyablement renseigné, c’est à se demander comment vous en savez autant… Mais oui, il m’est arrivé de dire que j’ai perdu mon pucelage à l’âge de pierre ! Le reste me regarde. Si vous aimez boire, je vous conseille la table là-bas, parmi les breuvages il y a un excellent brandy que vous apprécierez sûrement ! »

Pourquoi mentirai-je là dessus ? Mais cela date tellement… Tellement que j’ai du rouiller quelque peu depuis. Ce n’est plus la même fille qu’on dit débauchée, dévergondée. Et puis cette information qui a fuité est partie en vrille, elle n’a plus aucun rapport de près ou de loin avec la réalité.

«  - Votre santé est fragile Tatyana ? Je dois avoir l’air de me répéter jusqu’à en être lassant… Mais vous ne préféreriez pas prendre des vacances... vous marier, faire quelques enfants et vivre tranquillement sans aucun effort ? 
- La santé ne saurait limiter personne, mon sir. Ceux qui ont la grippe n’arrivent pas en retard pour leur bridge ou à l’heure du thé… Je ne sais pas quoi vous dire, si je prenais des vacances prolongées pour ma santé, je ne penserai qu’à elle, ce serait encore plus fatiguant. »

Périodiquement, il m’arrive d’être prise de quintes de toux inarrêtables. La tuberculose, rampante, ronge mes poumons, mes os, depuis bien des années. Elle me laisse énergique et enjouée la plupart du temps, mais par moment, elle frappe sans prévenir. Des jours à tenir le lit, ce n’est qu’un peu de déprime, vite remplacée par la personnalité (et le corps) d’avant. Des drogues un peu violentes (un dérivé morphinique journalier calme assez efficacement la toux) semblent me stabiliser.

Quelque part, dans un bâtiment aux rideaux fermés

«  Malsaine ? Tu es sûr de ça ? Si elle, alors nous…
«  Toi ça te fait plaisir tes séances ? Tu le fais avec joie ? »
« Non non, bien entendu… Tu penses qu’elle ne joue pas un rôle, elle prend vraiment plaisir ? »
«  Plus le temps passe et plus j’en ai l’impression. Quand j’ai fini je pars vomir, ou j’ai une gastro plusieurs journées… Psychosomatisation. Elle, c’est comme si elle revenait d’une pile de paperasse, c’est à croire que rien ne s’est passé. »


Ils croient que je ne sais pas ce qu’ils racontent dans mon dos ? C’est vrai, je n’ai aucune difficulté dans les séances de tortures des séditieux. C’est peut-être qu’on m’a habitué toute petite à un monde sans pitié, que j’ai fini par croire ce mensonge. La compassion existe, mais mon cœur est trop rempli de moi-même pour y rentrer assez les autres, surtout quand ces autres se voient comme mes ennemis. Je m’amuse même un poil dans leur punition, c’est comme si je trouvais du bonheur dans leur malheur, un accomplissement dans la vengeance.
Loyale loyale loyale, je suis on ne peut plus loyale à cette société qui m’a recueilli, nourri et protégé, après tout. C’est facile pour mes collègues de me voir comme une monstre, c’est oublier la gratitude que j’ai pour ce monde, cet organigramme, cette foule d’alliés. Coeur ambigu ne manque pas d’amour, coeur ambigu ne manque pas de dévotion. Pas de conviction. Pas d’amour.


Histoire




La petite fille est seule. Il fait froid dans les bas-fonds d’Inouak, hiver ou automne : quand il ne neige pas, il pleut et vente souvent, le sol mal pavé se rempli de flaques et de nids de vase quand il fait humide, de congères à moitié rompues qui se mélangent à la boue et se colorent de marron lorsqu’il neige. La petite fille le sait pour les avoir franchi un nombre incalculable de fois, les rues. À la période des fontes les flaques d’eau seront si énormes, les trous si grands au milieu de certaines rues, qu’elle risquera de trébucher au milieu de la neige et de se retrouver avec de l’eau froide jusqu’aux genoux. Que sont devenus ses parents, sa famille ? Il n’est pas facile de vivre en mendiant, à Inouak, il y a une concurrence rude, y compris chez les marmots, voler est passible de mort… on ne peut pas courir indéfiniment le ventre creux, on pourrait finir par s’effondrer inconscient sur le sol, et ne plus jamais se réveiller. Elle ne se souvient que de peu de choses, sa famille a été absorbée par les dettes, la maladie, la violence… il faut croire qu’elle a été asphyxiée comme une petite couche d’eau par une éponge. Il fait froid, la gamine a beau se couvrir de brique et de broc avec ce qu’elle trouve dans les déchets ou ce que de rares apitoyés lui offrent, elle a toujours du mal à dormir dans le froid ; ses forces s’épuisent doucement. Tout compte fait, peut-être que sa famille ne s’est pas éteinte dans la mort, ce serait trop simple, peut-être qu’elle a été elle même jetée dehors, ou que ses parents ont déménagé en la laissant derrière. Elle ne sait pas, les mois dans le dénuement le plus entier , le froid, la faim, le manque de sommeil, semblent miner son esprit patiemment, elle connaît des pertes de mémoire.


«  - C’est votre seul souvenir, darling ?
- Ce n’est qu’un rêve, sir. S’il était vrai, je ne peux pas croire que j’ai survécu, ni que j’ai toute ma tête. Je n’ai pas pu vivre ainsi pour me retrouver à une place aussi convoitée.
- Et pourtant je vous ai demandé de me raconter dans le moindre détail votre passé, puisque vous convoitez une place que nous accordons aux personnes les plus fiables.
- Si vous promettez de ne plus m’appeler darling, je vous donnerai la suite. Je ne tiens pas à ce que vous passiez au harcèlement quand je raconterai la suite.
- Ne soyez pas impertinente ma chère. Et ce mot harcèlement n’est pas bien plus pertinent, je me demande quel groupe d’épouses radicales a pu l’inventer, à une époque où elles disposent toutes du droit de vote.
- J’ai été adoptée par la famille Iliouchine, à seize ans. C’est eux qui m’ont tout appris de la haute société, m’ont donné un entraînement intensif qu’en quelques années, toute trace de mon passé avait disparu. La mauvaise époque s’était tellement bien évaporée, que personne n’était capable de ne serait-ce qu’imaginer mes origines rustres. Quand on est adopté de toute manière, on reçoit un nom, on n’est plus rien d’autre qu’un noble au sang aussi pur que celui de nos bienfaiteurs.
- Vous n’avez besoin de débiter aucun de ces évidences, venez-en plutôt au fait. Entre l’âge où vous couriez les rues (huit ans, dix ans ?) et vos seize ans, vous ne me ferez pas croire que c’était le pur néant. »

Bien entendu, comme je le raconte à ce hiérarque, qu’il s’est passé des choses. Si je ne suis pas morte oubliée, c’est parce qu’on m’a recueilli. Qui aurait recueilli une enfant par pure miséricorde, là d’où je viens ? Ceux qui m’ont soigné, nourri à la soupe, avaient grandi comme moi dans sur fond d’un mode de vie où rien n’est gratuit, nos malheurs appelant à la rétribution. C’est au commerce du corps, que j’ai été initiée, ce très jeune. C’est d’une de ces maisons illégales que j’ai été tirée, à seize ans, lors d’une descente des autorités. Dés lors sans aucune attache, n’ayant d’autre route que la réhabilitation dans la société, j’étais bonne à être adoptée. Une famille de Maîtres particulièrement loyaliste, les Iliouchine m’ont accepté. Et là, tout ce qu’il faut savoir est su, explique-je au bonhomme derrière son bureau. J’ai vingt ans. Je suis une enfant, aux yeux de ce monde. Mon physique lui même fait on ne peut plus juvénile. Mais je suis prête à apprendre, à donner ma vie pour cette profession. Je sais que ma détermination les frappera, elle forçait déjà l’admiration d’autres personnages quand j’avais quatorze ans.
Il faut aussi surmonter le handicap de ma santé. Quand on m’a sorti de ma prison, j’étais secouée de crises de toux continues. Des mois de repos et de traitement ont été nécessaires pour me rétablir. Je n’ai pas échappé aux séquelles, mais les médecins ont assuré que j’étais stable. La piqûre d’héroïne marche bien, elle agit comme un dépresseur respiratoire, elle réduit les quintes de toux au minimum et celles-ci ne démolissent plus autant le tissu des poumons.

Cinq années ont passées. Et mon pied sur les doigts d’un jeune homme, fait une pression telle qu’un craquement de bois sec s’échappe. Il grogne, la peau nue de son torse est couverte de transpiration, il doit lutter de toutes ses forces pour ne pas se débattre. Mais mon ton reste tout aussi gai que mon sourire immuable, à peine froid.

« - Quand je te dis que tu parleras, crois-moi que tu parleras. La biologie est ainsi faite… Quand tu ne seras plus qu’un pauvre tas de chairs tremblantes, et que pour toi je serai le Mal incarné, tu donneras le plus ridicule des spectacles sans une once de honte. - »

Il est de notoriété que je tutoie tout le monde. Ça aussi ils s’habituent. Mais là je suis surtout en train de rentrer des crochets de fer dans la peau d’un prisonnier. Comme un hameçon, ça ne fait pas tellement mal une fois que la chair est percée, il faut simplement attendre. Attendre qu’il y ai assez de crochets… et que je renverse la table brusquement, sans ménagement. Ce n’est pas assez ?

« - Ce n’est pas assez ? Tu as raison, ce n’est rien des crochets qui tirent au maximum. L’endorphine monte et elle compense rapidement la souffrance. - »

Lorsque je marche sur les crochets, les cris montent enfin dans la pénombre. Ce pauvre jeune homme a été bien vaillant. Ils sont nombreux, prêts à mourir pour leurs idées, de jeunes héros bichonnés à la littérature romantique, désireux et pressés de libérer les opprimés… Comment peuvent-ils espérer changer le monde en étant aussi rêveurs ? Alors je répète mes questions, posément, souriante, sur un ton amical. La peau arrachés et le sang ne sont pas eux, amicaux.

«  - Réponds-moi maintenant, où sont-ils cachés ? Tu pourras souffler après, je te promets. Tu as l’air tellement… épuisé. - »

L’Inquisitrice me surnomme-t-on parfois. Je ne suis absolument pas plus atroce en tant que tortionnaire, que des collègues, et je peux même promettre que je suis très loin des pires. Ce qui inquiète le plus, qui fait ma mauvaise réputation, c’est le détachement avec lequel je gère tout, l’entrain qui me suis jusque dans les caves. J’ai choisi de travailler dans le « bureau d’enquête spécifique ». Je fais partie de ces petites sœurs, celles qu’on n’a aucun besoin de marier et qui peuvent donc se consacrer aux métiers d’homme célibataire. Mon département est jalousement polyvalent, il se vante d’enquêter dans les toits d’hommes suspectés par le régime pour certaines idées et sympathies rapportées par la délation, de les arrêter lui-même, et de garder ses prisonniers (du moins jusqu’à ce qu’ils aient craché). La combinaison de ces trois vocations est supposées nous endurcir, selon le vieux credo, et on nous transmet une vieille mystique et les codes désuets qui vont avec… Une sorte de cache-misère, car nous ne sommes aucunement la police d’élite du régime, plutôt une sorte de bureau honorifique et symbolique où les plus riches aiment placer leurs enfants pour leur donner une expérience et une réputation : nos arrestations, nos prisonniers, ne sont que miettes dans l’énorme gâteau de l’administration. La jalousie est la conséquence directe de l’ambition mal satisfaite, et elle n’œuvre pas pour répandre mieux la morale dans notre groupe.

Pourtant, j’ai sué pour monter ici. Entre eux, ces administrés se donnent le surnom d’Inquisiteurs ou de Gardiens. C’est prétentieux mais ils veulent que nous possédions le savoir du combat, la connaissance des points faibles du corps humain. Que de techniques de lutte, d’attaques ai-je appris en quatre années d’étude, en parallèle de la formation policière classique. Dans une ambiance de confrérie stupide, j’ai révisé jusqu’à l’épuisement ces prises de sports de combats dans le nom n’existait guère plus, et trop peu féminins pour que j’ai l’occasion de m’en vanter. J’y ai acquis la souplesse d’un chat et la célérité d’un serpent… Mais surtout, une bonne cartographie du corps humain et des meilleures zones où l’attraper, le tordre et le pincer pour le rendre mal. Pourquoi tant d’abnégation chez une femme, entendais-je murmurer. Avec d’où je venais, pouvait-on dire que j’étais une femme ? m’interrogeais-je parfois.
Arrivée dans le métier (grade de fin d’étude, sous-lieutenant), cette question était complètement oubliée.

Tatyana, suit toujours sa famille dans ses réceptions et ses évènements marquant. Elle se fond dans la grande société, elle garde son sourire et ses bonnes manières. Elle est amicale avec tout le monde, et si elle ne désire aucun fiancé (ni aucune) sa chaleur et son entrain font qu’on la pardonne. À côté, elle flaire les murs et fouille les sous-sols pour trouver des esclaves en fuite et des chez des grands noms.



Feat : Asakura Ryôko - La Mélancholie d'Haruhi Suzumiya
Comment avez-vous connu le forum ? Hina
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Allez, vous avez bien un pseudo ? Oryô
Un petit quelque chose à rajouter ? Méfaits accomplis


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Âge : Inconnu
Orientation sexuelle : Assexuel
Emploi/loisirs : Maître absolu
Situation financière : Riche
Localisation : Dans son laboratoire
Caractère : Créatrice et Dominatrice
Tatyana, ordonnée et dévouée Icon_minitimeDim 6 Juin - 21:49
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