Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Situation financière : Aisée
Métier : Pirate
Rôle au sein de la société : Fouteuse de merde
Hybridation : -
Pouvoir : -

Physique
Pas grand-chose à dire. Je suis rousse, mes yeux sont entre le bleu et le vert… Ça varie selon la lumière et les saisons… Je suis rousse, mais je pense que tout le monde avait remarqué, sauf l’aveugle à la limite. Je suis de taille moyenne, le mètre 65 et je suis tout ce qu’un noble déteste. J’ai des tatouages, je suis musclée, j’ouvre ma gueule, je me bats à tir larigot. J’ai des cicatrices aussi. Bref rien de spécial à dire de plus. Ah si je m’habille comme les pauvres comme ils disent. En même temps vous me voyez sur mon rafiot avec une robe longue à dentelles et froufrous ? Comique n’est-ce pas ?
Enfin je vais pas vous donner mes mensurations, je suis bien foutu, c’est tout ce que vous avez besoin de savoir.
Mental
Sale caractère, on ne devient pas pirate en faisant dans la dentelle et dans la charité.
Égoïste, on ne survit pas en pensant aux autres, mais bien à notre survie.
Forte, ici, je ne respecte qu’une seule loi et il s’agit de la mienne, celle que je dicte et que je valide.
Honneur, il en faut un minimum pour pouvoir marchander, échanger et être respecté malgré mon métier… On a qu’une parole, il faut juste bien faire attention aux sens de mes mots pour ne pas se faire avoir… Vous êtes prévenu.
Courage, le danger ne me fait pas peur, je désire simplement étancher ma soif de conquête.
Cruelle, si je dois te dépecer pour te faire parler ou au contraire te couper la langue pour te faire taire, je n’hésiterai pas un seul instant et y prendrais un malin plaisir.
Cela suffira, on peut s’arrêter ici, vous avez déjà une base et elle est bien assez suffisante.
Histoire
Je suis née chez les nobles… Amusant non ? J’ai participé à des soirées mondaines en tant que parfaite petite poupée de la société. J’ai eu des esclaves, j’en ai cassé aussi quelques-uns et j’ai toujours été quelqu’un de plutôt sage… Oui enfin ça, c’était avant que je ne surprenne une conversation à mes 12 ans de mes parents… Mon très cher papounet et ma très chère mamounette réfléchissaient à une manière de me vendre à un marchand d’esclaves ou encore au laboratoire pour me transformer. Les calculs étaient importants, il ne fallait surtout pas perdre un centime de cet échange… Alors en plus de m'avoir maltraitée toute mon enfance avec les domestiques, j'étais destinée aussi à la vente comme un vulgaire cochon d'élevage.
Je ne sais pas si c’est un instinct de survie ou une névrose qui est apparue, mais je suis remontée dans ma chambre avec le sourire. J’ai attrapé ma poupée adorée et je l’ai emmenée avec moi dans la bibliothèque équipée d’un sac. J’ai pris tous les livres pouvant m’intéresser sur l’astronomie, la navigation, les plantes, la nature, bref tout ce qui pouvait m’être utile pour mon périple. Ensuite, je suis allée vers le bureau de papa par la porte secrète. Je l’avais remarqué il y a longtemps, une nuit d’insomnie où il tirait une esclave nue par les cheveux pour faire sa petite affaire. Je me suis emparée de son offre où se trouvait toute la fortune et je m’en suis emparée. Ensuite, dans sa vitrine, j’ai attrapé une arme à feu.
Ne me pensez pas inconsciente, j’ai appris à tirer depuis mon plus jeune âge. Pourquoi ? Car c’était à la mode ? Car il fallait chasser et qu’il espérait peut-être que je pourrais reprendre l’entreprise familiale plus tard ?
Pas assez sauvage qu’il disait, trop docile. Je ne vois qu’en lui un psychopathe qui corrompu son monde et qui m’a offert cette tare sur un plateau d’argent à ma naissance. Je suis ressortie de cette pièce qui disparaîtrait bientôt. Le sac sur mon dos, l’arme coincée entre ma poitrine et ma poupée, je suis remontée pour chercher quelques affaires et c’était direction les écuries. Là, je sautais par la fenêtre par laquelle je fuguais souvent. Oui, c’était en hauteur, mais oui il y avait un arbre qui ne demandait qu’à être utilisé pour me permettre de faire le mur.
J’ai rejoint l’écurie, j’ai demandé au palefrenier de garde de préparer un cheval. Il n’a pas eu l’air de comprendre pourquoi, mais il s’est exécuté. J’y ai attaché mes deux sacs et avant qu’il ne puisse devenir trop bavard… Je l’ai… Non. Si ? D’après vous l’ais-je tué pour me protéger ou l’ais-je laissé en vie ?
Enfin bref, revenons aux choses intéressantes de la vie. Je suis retournée au manoir, ma poupée et mon arme toujours contre moi. Je suis entrée dans le salon où mes parents discutaillaient et j’ai tiré. J’ai abattu de sang-froid ceux qui voulaient se débarrasser de moi. J’ai ensuite attrapé une lampe à huile que j’ai éclatée pour qu’elle agisse à ma place. Le feu à lécher les murs de la maison et alors que je repassais par les chemins cachés, j’entendais tout le monde hurler et courir dans tous les sens. Je pénétra donc ensuite dans les cuisines encore intactes, mais où il n’y avait plus personne pour surveiller mes allers venus. Je me suis servie généreusement et j’ai décidé de quitter ce manoir en train de disparaître dans les cris, le feu et le sang.
Une envie de rire, un rire libérateur se faisait sentir, mais rien de tout ceci ne se produisit.
Pourquoi ? Parce qu’un adolescent que je connaissais que trop bien se tenait devant moi avec mon cheval et un autre en main.
- Tsssk, bouge de là si tu ne veux pas mourir à ton tour.
Sans prononcer mot, il s’empara de moi et de mon sac. En moins de seconde pour comprendre ce qu’il se passait, j’étais sur mon cheval et les vivre accrochés à sa monture. J’ai simplement rangé mon arme avant de suivre le garçon qui s’était lancé au galop. Il était ma porte de sortie pour m’aider dans ma fuite et je le savais.
On s’est caché des jours durant. J’ai appris que l’on pensait que le drame, c’était produit suite à mon kidnapping qui s’était mal déroulé et donc on pouvait voir des avis de recherche me concernant. D’autres rumeurs pensaient que j’avais succombé dans l’incendie, mais aucune ne m’accusait d’avoir été l’instigatrice de tout ce bordel.
Les années ont passé, je me suis intéressée de plus en plus près à la piraterie à cause des livres que j’avais prit… Bon ok, ils parlaient simplement de voyager en mer et non de piller, mais j’avais soif de liberté et de découverte. J’ai donc fini par voler un petit bateau avec l’autre pot de colle, puis les années ont encore passé et il a fini par s’agrandir… Puis j’ai finalement fait construire mon navire de piraterie.
Quoi ? J’avais la thune autant en profiter.
J’ai donc fait construire un magnifique voilier qui parcourut le peu de mer qui m’était accessible. J’aimais passer mon temps dans la dunette où j’avais une vue impeccable et où je n’entendais pas les autres râler et encore moins mon acolyte. J’aimais ne pas l’entendre lui et sa grande gueule.
Et voilà ma vie. C’est décousu, mais ça me représente bien, vivre au jour le jour sans réfléchir à rien et encore moins aux conséquences.
Ah oui et j’ai la haine contre ce système pourri, j’ai l’impression que cette merde entrave mes déplacements, allez savoir pourquoi.
Bref, je suis une pirate et je suis fier de l’être. Ravie de faire prochainement affaire avec vous et au plaisir de vous arnaquer avec facilité.
Ah, j’oubliais. Dieu-le-veut n’est pas mon vrai nom de famille, mais comme vous pouvez vous en douter, pour se faire oublier, il faut changer d’identité… Et si je suis encore vivante en liberté et non à croupir dans une prison, c’est que Dieu voulait ma survie pour que je bouge ce monde à ma façon. Lequel Dieu après ? Je vous laisse y penser.

Feat : Sarah Fortune Alias MF League of Legends
Comment avez-vous connu le forum ? Comme ça.
Votre âge ? Plus de 20 et moins de 30.
Allez, vous avez bien un pseudo ? Je ne crois pas.
Un petit quelque chose à rajouter ? Soyez gentils avec la pauvre petite chose que je suis.